[Sidyone]

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Le livre s’appel ‘Le soldat oublié’ : La Couv

En résumé : Guy Sajer ( l'auteur ) n'a que dix sept ans lorsqu'il devient soldat en 1942. Né d'un père Francais et d'une mère Allemande, il intègre la Wehrmacht en Alsace. Quelques mois plus tard il part pour la Russie et intègre une unité combattante.
Guy Sajer à écrit ce livre relatant sa jeunesse après la fin de la guerre.

Personnellement c'est un des bouquins qui m'a le plus marqué. Il montre bien la vie qu'on put endurer les soldats Allemands qui n'étaient que des hommes là pour servir l'Allemagne. Il montre comment l’horreur de la guerre était présente dans tous les camps, alliés ou non. Il montre une réalité qu'on a peut l'occasion de voir dans des reportages ou dans des films. Je l'ai trouvé magnifique au sens historique, dur en émotion et tellement réel.

Si vous aimez lire et que comme moi, vous vous intéressez à cette période de l’histoire, n'hésitez pas.
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[Zib]

"le soldat oublié", effectivement... un livre particulier, j'ai eu l'occasion de le lire, et il ne m'a pas laissé de marbre,l 'histoire de ce gamin projeté dans les campagnes contre la russie, combattant pour une Allemagne qui n'est sa patrie que par sa mère, et combattant sutout pour rester en vie.
C'est incroyable de ce dire que des gens on pu connaitre de telles horreurs et de telles soufrances, parce que si l'abominable était bien présent, les douleurs physiques l'étaient aussi, on en compte plus au cours du livre le nombre de fois où l'auteur frole la mort, où il repousse encore et encore et encore les limites de l'homme. Entre le froid, les bombes, les maladies, les "popovs", les blessures sanguinolantes, et les gémissements de soldat mourrant, il reste un homme meurtri qui ce demande si sa place est vraiment là. Tant d'agonie pendant 4 ans, pour ce retrouver dans le camp des vaincus et être finalement une preuve vivante, un témoignage honteux.

Livre que j'ai trouvé difficile, pas un instant de répit, pas une seule pose, la guerre, la guerre et encore la guerre, toujours plus violente, qui vous donne la nausé, qui vous donne des doutes sur la vraisemblance de ce texte, et pourtant, des milliers de gens l'ont vécu cette réalité là. J'ai mis longtemps à le finir, pas parce que le texte était difficile, mais parce que je ne suis pas habitué à une telle violence, parce que chaque passage me révulsait, me laissait un gout amer, et me faisait poser la question "pourquoi?"
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